Your faith was strong but you needed proof
You saw her bathing on the roof
Her beauty and the moonlight overthrew you
She tied you
To a kitchen chair
She broke your throne, and she cut your hair
And from your lips she drew the Hallelujah
[ Hallelujah - Leonard Cohen ]
You saw her bathing on the roof
Her beauty and the moonlight overthrew you
She tied you
To a kitchen chair
She broke your throne, and she cut your hair
And from your lips she drew the Hallelujah
[ Hallelujah - Leonard Cohen ]
Carte du jour : La Dame d'Epées, du Housewives Tarot (ou "Boîte à tirer les cartes" en français ;))
Une bien drôle de carte, à première vue, au niveau du design, n'est-ce pas ? Mais c'est comme tout le jeu, ça ;) On y voit donc l'une de ces femmes aux cheveux impeccablement coiffés, digne d'une publicité des années 50 (ah, mais ... c'est le but de ce jeu. Un hommage aux années 50 et à son esthétisme. J'aime ce jeu <3), équipée d'un sécateur, prête à couper une rose où apparait la tête d'un homme souriant et tout aussi digne d'une publicité.
Deux choses me frappent dans cette carte du jour : on y retrouve le côté rose / jardinage que je viens de découvrir chez un de mes personnages, mais aussi la notion de couper les choses. Couper les choses pour s'en éloigner et les ignorer pour qu'elles n'aient plus de prise sur notre vie. Une bonne leçon, celle-ci, clairement.
Mais je reste sur le premier élément et j'hallucine proprement, en faite.
J'ai découvert il y a, quoi, deux jours ? quel était le futur de l'un des personnages de mon roman Nacht und Nebel, quel était le tournant de sa vie dans l'épilogue. Et ... surprenant de sa part, il a donc abandonné son ancien métier, dégouté par ce qu'il avait du faire à l'époque, pour se consacrer à sa passion et devenir fleuriste. Sur le coup, grosse surprise. Je n'aurais jamais imaginé un instant qu'il cesse sa carrière militaire pour devenir fleuriste. Totalement inimaginable de sa part.
Et peu à peu, des scènes se découvrent, montrant avec quel soin il s'occupe des plantes, des fleurs qu'il vend lui-même, qu'il compose en bouquet, avec expérience (entre la fin du roman et l'épilogue, 20 ans se sont écoulés). Avec quel soin il attend, aussi. Parce que la personne avec qui il est lié est partie, il l'attend. Ludwig l'impatient, la tête brûlée, a appris à attendre, et c'est presque magique.
Et hier, il est simplement venu s'asseoir. Comme cela. Tranquillement. Une rose à la main. La plus belle, a-t-il dit. Celle pour laquelle il a soigné un rosier pendant des heures, piquant ses mains, mais avec le soin attentif de quelqu'un qui sait qu'il veut donner le meilleur a sa plante.
C'est peut être ça, cette carte du jour, tout simple.
Savoir apprendre à donner de son temps pour cultiver son jardin. Avec le sourire.
Je vais aller un peu compléter Doppelganger, car eux, ils avancent (et j'ai croisé des silhouettes que je n'aurais pas cru revoir de si tôt ... Scar et Engel ... Cela faisait si longtemps !)
Deux choses me frappent dans cette carte du jour : on y retrouve le côté rose / jardinage que je viens de découvrir chez un de mes personnages, mais aussi la notion de couper les choses. Couper les choses pour s'en éloigner et les ignorer pour qu'elles n'aient plus de prise sur notre vie. Une bonne leçon, celle-ci, clairement.
Mais je reste sur le premier élément et j'hallucine proprement, en faite.
J'ai découvert il y a, quoi, deux jours ? quel était le futur de l'un des personnages de mon roman Nacht und Nebel, quel était le tournant de sa vie dans l'épilogue. Et ... surprenant de sa part, il a donc abandonné son ancien métier, dégouté par ce qu'il avait du faire à l'époque, pour se consacrer à sa passion et devenir fleuriste. Sur le coup, grosse surprise. Je n'aurais jamais imaginé un instant qu'il cesse sa carrière militaire pour devenir fleuriste. Totalement inimaginable de sa part.
Et peu à peu, des scènes se découvrent, montrant avec quel soin il s'occupe des plantes, des fleurs qu'il vend lui-même, qu'il compose en bouquet, avec expérience (entre la fin du roman et l'épilogue, 20 ans se sont écoulés). Avec quel soin il attend, aussi. Parce que la personne avec qui il est lié est partie, il l'attend. Ludwig l'impatient, la tête brûlée, a appris à attendre, et c'est presque magique.
Et hier, il est simplement venu s'asseoir. Comme cela. Tranquillement. Une rose à la main. La plus belle, a-t-il dit. Celle pour laquelle il a soigné un rosier pendant des heures, piquant ses mains, mais avec le soin attentif de quelqu'un qui sait qu'il veut donner le meilleur a sa plante.
C'est peut être ça, cette carte du jour, tout simple.
Savoir apprendre à donner de son temps pour cultiver son jardin. Avec le sourire.
Je vais aller un peu compléter Doppelganger, car eux, ils avancent (et j'ai croisé des silhouettes que je n'aurais pas cru revoir de si tôt ... Scar et Engel ... Cela faisait si longtemps !)